Un débat houleux sur les actes de torture de l’artiste Longuè Longuè
Depuis quelques jours, une vidéo choquante de l’artiste Longuè Longuè circule sur les médias et les réseaux sociaux. Des individus identifiés le torturaient très inhumainement. Il implorait leur pardon mais ces éléments sous les ordres du commandant Bernard Mbu Tabala ne voulaient rien entendre.
Sur la chaîne de télévision Vision 4, l’heure est au débat. Dans l’émission Club d’élites, l’un des sujets évoqués est justement : « Actes de torture : le Mindef cherche les coupables ». Le Mindef étant entendu par le ministère de la Défense.
Les deux autres thèmes au menu des échanges sont « Paul Biya de retour au pays : les dossiers prioritaires qui l’attendent » et « Lenteurs judiciaires : le Minat/Minjustice dénonce ».
Les invités de Boney Philipe, notamment Dieudonné Essomba, le Pr Pascal Messanga Nyamding et le Pr Jean Bahebeck, livrent les coupables en direct.
La torture de Longuè Longuè : un acte inacceptable
La vidéo de l’artiste Longuè Longuè subissant des actes de torture a suscité une vague d’indignation au Cameroun. Les images choquantes ont mis en lumière la violence et la brutalité dont certaines personnes sont capables. La torture est un crime odieux et inacceptable, quelles que soient les circonstances. Les responsables de ces actes barbares doivent être identifiés et traduits en justice.
Les réactions face à cette affaire
Suite à la diffusion de la vidéo, de nombreuses personnalités et organisations ont exprimé leur soutien à Longuè Longuè et condamné fermement les actes de torture dont il a été victime. La société civile a appelé à une enquête approfondie pour que la lumière soit faite sur cette affaire et que les coupables soient punis conformément à la loi.
L’affaire Longuè Longuè a également mis en lumière les défis auxquels est confrontée la justice au Cameroun. Les lenteurs judiciaires et les obstacles à l’accès à une justice équitable sont des problèmes récurrents qui doivent être résolus pour garantir les droits fondamentaux de tous les citoyens.
Mot de la rédaction:
Face à de tels actes de barbarie, il est essentiel que la société dans son ensemble condamne fermement la torture et toute forme de violence. La protection des droits humains et la lutte contre l’impunité doivent être des priorités absolues pour garantir un avenir juste et équitable pour tous. Il est temps que les autorités prennent des mesures concrètes pour mettre fin à ces pratiques inhumaines et pour que justice soit rendue aux victimes.
L’équipe de rédaction de Cameroon Magazine.
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