Des entreprises membres du Gecam accusées d’imposer des pratiques d’homosexualité et d’intégration de sectes
Des allégations choquantes ont récemment éclaté, mettant en cause des entreprises membres du Groupement des Entreprises du Cameroun (Gecam) d’imposer des pratiques d’homosexualité et d’intégration de sectes à leurs employés. Ces accusations ont été portées par des lanceurs d’alerte, suscitant un débat houleux au sein de la société camerounaise.
Des pratiques inacceptables au sein des entreprises
Selon les informations relayées, le président du Gecam, Monsieur Célestin Tawamba, a été directement interpellé par un lanceur d’alerte nommé Shance Lion. Ce dernier a dénoncé publiquement les pratiques douteuses qui seraient imposées aux employés des entreprises membres du Gecam. Il pointe du doigt des cas d’homosexualité forcée, d’adhésion à des sectes sataniques et d’autres pratiques déviantes qui seraient devenues des critères pour l’avancement professionnel au sein de ces entreprises.
Un exode vers le Canada motivé par ces pratiques scandaleuses
Shance Lion va plus loin en affirmant que ces pratiques inacceptables sont l’une des raisons pour lesquelles de nombreux jeunes cadres d’entreprises cherchent à émigrer au Canada. Selon lui, les conditions de travail imposées par les entreprises du Gecam, telles que l’adhésion à des loges, confréries et autres fratries, ainsi que des actes d’homosexualité forcée, ont poussé certains employés à chercher des opportunités à l’étranger où de telles pratiques ne sont pas tolérées.
« Monsieur Célestin Tawamba, si des milliers de Camerounais vont au Canada, c’est aussi en grande partie parce que les diverses entreprises de votre GECAM imposent des conditions extra-professionnelles à leurs employés; telles que l’adhésion aux loges, confréries et autres fratries, le bourrage du derrière, les positions ciseaux viande-viande. C’est l’adhésion à ces choses qui aujourd’hui est devenue le baromètre d’une ascension professionnelle au sein des entreprises du GECAM. Sans toutefois oublier les salaires de catéchistes pratiqués par bon nombre d’entre elles. Un mauvais diagnostic d’une maladie, conduit à un mauvais traitement. Voilà les maux/mots qui poussent certains de nos compatriotes à fuir vers le Canada où, on ne leur impose rien d’autre, que le rendement au travail », a écrit Shance Lion dans une publication.
Mot de la rédaction:
Cette affaire soulève des questions cruciales sur les pratiques professionnelles et éthiques au sein des entreprises membres du Gecam. Il est essentiel de mener une enquête approfondie pour faire la lumière sur ces allégations et garantir un environnement de travail sain et respectueux pour tous les employés. L’intégrité et le bien-être des travailleurs doivent être une priorité absolue pour toute organisation.
L’équipe de rédaction de Cameroon Magazine.
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