Football Camerounais : La FECAFOOT et l’Arrivée de FOURTEEN, Entre Promesses et Désillusions

L’annonce de la signature d’un contrat d’équipementier entre la FECAFOOT et la société FOURTEEN suscite de vives réactions au sein du football camerounais. Samuel Eto’o, président de la fédération, est au cœur des critiques. Parfait Nicolas Siki, ancien Secrétaire Général de la FECAFOOT, n’hésite pas à qualifier cette décision de signe d’un management en crise.

Une Vision en Chute Libre

Selon Siki, cette collaboration avec FOURTEEN symbolise un naufrage managérial. Il déplore que la FECAFOOT, sous l’égide d’Eto’o, semble ignorer les alertes et fonce droit vers l’échec. La passion des supporters, souvent aveuglante, masque une réalité inquiétante où les vérités sont étouffées par les cris d’allégresse.

Le Silence des Acteurs Clés

Les voix qui devraient s’élever pour dénoncer cette situation se taisent. Les acteurs majeurs du football camerounais, des délégués aux présidents de clubs, semblent paralysés face à une crise qui s’aggrave chaque jour. L’indifférence et le silence complices nourrissent un système déjà en perdition.

Un État des Lieux Alarmant

Les finances de la FECAFOOT sont dans un état désastreux, et il faudra des années pour redresser la situation. Les ressources générées par le football ont été gaspillées, laissant la fédération dans une situation critique. L’amour et le fanatisme pour le sport ont créé un monstre qu’il est désormais urgent de neutraliser.

Conclusion : Un Appel à l’Action

Pour sauver le football camerounais, il est impératif de prendre conscience de la gravité de la situation et d’agir. Chaque acteur du milieu doit se réveiller pour tenter de redresser la barre avant qu’il ne soit trop tard.

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