Depuis le 16 mars dernier, la culture est à l’arrêt. Les artistes n’ont plus la capacité de se produire sur scène. Les festivals sont annulés. Les promos d’artistes, surtout internationaux, sont totalement compromises. Les salles de concerts ont dû annuler leur programmation. Le secteur est en danger.
Après plus de 70 téléconcerts publiés pendant le confinement, « l’Obs » poursuit cette série musicale avec une nouvelle formule concentrée sur de grands noms et les coups de cœur de la rédaction, chaque samedi et chaque dimanche. Jusqu’à nouvel ordre.
En attendant la sortie d’un EP projet hommage à Calypso Rose baptisé « Heavenly Sweetness loves Calypso Rose », sur lequel l’artiste de culture antillaise reprend « Back to Africa », David Walters nous offre une session musicale exclusive depuis Marseille.
Dans sa langue îlienne d’origine, le métropolitain joue « Manyè », tiré de son dernier chapitre studio « Soleil Kréyol » mis en bac le 31 janvier dernier (Heavenly Sweetness, Idol, L’Autre Distribution). Un morceau chaloupé, véritable folk lumineux dont il a le secret.
David Walters devrait bientôt se produire dans une série de concerts, notamment le 18 septembre à Ecouen (95) à La Grange à Dimes, le 9 octobre à Arles (13) au Cargo ou encore le 1er novembre à Lausanne en Suisse au Jazz Onzeplus Festival.
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