Un délégué CGT agressé chez lui en plein conflit social chez Vertbaudet
En pleine période de conflit social chez Vertbaudet, une entreprise de puériculture située à Marquette-lez-Lille, dans le Nord, un délégué CGT a été agressé chez lui en présence de son fils de 16 ans. Cette agression intervient après le démantèlement du piquet de grève tenu depuis deux mois par les salariés de l’entreprise. Plusieurs grévistes ont été placés en garde à vue et une gréviste a fini aux urgences.
La direction de Vertbaudet condamne les violences et assure respecter le droit de grève. Cependant, 72 salariés sur 327 sont toujours en grève, réclamant des augmentations de salaire. La patronne de la CGT, Sophie Binet, fait le lien entre l’agression du délégué CGT et le conflit social en cours.
Le délégué CGT, en état de choc, n’a pas déposé de plainte par peur des représailles pour lui et sa famille. Le parquet de Lille a ouvert une enquête pour déterminer l’origine de cette agression.
Des tensions lors du démantèlement du piquet de grève
Le démantèlement du piquet de grève tenu depuis deux mois par les salariés de Vertbaudet a été une opération sous tension. Plusieurs grévistes ont été placés en garde à vue et une gréviste a fini aux urgences. La direction de Vertbaudet assure respecter le droit de grève mais 72 salariés sur 327 sont toujours en grève, réclamant des augmentations de salaire.
La patronne de la CGT, Sophie Binet, fait le lien entre l’agression du délégué CGT et le conflit social en cours. Le délégué CGT, en état de choc, n’a pas déposé de plainte par peur des représailles pour lui et sa famille. Le parquet de Lille a ouvert une enquête pour déterminer l’origine de cette agression.
Des salariés en grève pour des augmentations de salaire
72 salariés sur 327 sont toujours en grève chez Vertbaudet, une entreprise de puériculture située à Marquette-lez-Lille, dans le Nord. Ils réclament des augmentations de salaire. La direction de Vertbaudet assure respecter le droit de grève mais le démantèlement du piquet de grève tenu depuis deux mois par les salariés a été une opération sous tension.
Plusieurs grévistes ont été placés en garde à vue et une gréviste a fini aux urgences. La patronne de la CGT, Sophie Binet, fait le lien entre l’agression du délégué CGT et le conflit social en cours. Le délégué CGT, en état de choc, n’a pas déposé de plainte par peur des représailles pour lui et sa famille. Le parquet de Lille a ouvert une enquête pour déterminer l’origine de cette agression.
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