Le célèbre roman d’Agatha Christie, initialement intitulé « Dix petits nègres » fait tomber la couverture. Il est rebaptisé « Ils étaient 10 ». Un changement décidé par l’arrière petit-fils de l’auteure.
Les « Dix petits nègres », un roman policier qui relate le séjour sur une île mystérieuse de dix personnes accusées d’avoir commis un crime, est désormais rebaptisé « Ils étaient dix ».
« Nous ne devons plus utiliser des termes qui risquent de blesser », a expliqué sur l’antenne de RTL James Prichard, l’arrière petit-fils de la célèbre auteure britannique Agatha Christie. Selon lui, son aïeule « était avant tout là pour divertir et elle n’aurait pas aimé l’idée que quelqu’un soit blessé par une de ses tournures de phrases ».
INFO RTL – Ne l’appelez plus « Dix petits nègres ». Le roman d’Agatha Christie change de titre et paraît aujourd’hui dans une version révisée, exit le mot « nègre ». https://t.co/MHZB2YKvLy
À la tête de la gestion des droits médiatiques et littéraires de l’ensemble des œuvres écrites par sa grand-mère, James Prichard a décidé de rebaptiser le roman policier écrit en 1938. « Quand le livre a été écrit, le langage était différent et on utilisait des mots aujourd’hui oubliés », a expliqué James Prichard pour justifier sa décision.
Si le titre change pour une version plus politiquement correcte, toutes les mentions de ce mot dans le livre sont également appelées à être modifiées.
Cité plus de 70 fois dans l’œuvre originale, il n’apparaît plus du tout dans la nouvelle version du livre. « La traduction a été révisée selon les dernières mises à jour de la version originale, mais l’histoire en elle-même ne change pas », a indiqué l’éditeur du roman.
La connerie a encore frappé « Dix petits nègres » : le best-seller d’Agatha Christie débaptiséLa réécriture du passé s’accélère George Orwell était prémonitoire dans 1984https://t.co/Xs3DwaqUY8
Alors vous allez entendre toute la journée gnagna politiquement correct on peut plus rien dire.Gardez à l’esprit une chose : le roman d’Agatha Christie Ten Little Niggers, sorti en 1939, a été rebaptisé par Agatha Christie elle-même And Then There Were None dès 1940. https://t.co/JiEk6xnj2d
Et évidemment, plein de gens gueulent à la censure et au « on peut plus rien dire » alors que :- le titre a été changé depuis longtemps partout, sauf en France- Agatha Christie était déjà d’accord avec ce changement- la présence ou non du mot « nègre » ne change rien à l’histoire https://t.co/eKYsOnJCrz
Maintenant c’est au tour des livres ! « Dix petits nègres » c’est fini Le best-seller mondial d’Agatha Christie débaptisé https://t.co/6em2Zh84Vd
Ce changement majeur fait suite à la vive polémique déclenchée aux Etts-Unis lorsque le géant américain du streaming, HBO, a décidé de retirer momentanément de sa plateforme le film Autant en emporte le vent réalisé par Victor Fleming en 1939. En cause, selon HBO : « les préjugés racistes qui étaient communs dans la société américaine » au moment de la réalisation du film.
Le film a depuis été réintégré au catalogue du site, avec, en préambule, des vidéos qui expliquent le contexte historique dans lequel il a été tourné.
Très marqué par cette polémique, James Prichard se serait décidé à renommer le livre à la suite de cet événement. « Nous ne devons plus utiliser des termes qui risquent de blesser : voilà le comportement à adopter en 2020 », a-t-il conclu.
Qu’en eut pensé Aimé Cezaire, lui… grand poète, dramaturge, écrivain, mais surtout fier de sa « négritude » dont il fut l’inventeur du mot et à travers duquel il revendiquait le fait d’être reconnu en tant qu’homme noir?
c’est très bien mais il ne faut pas en rester là :
sa pièce de théatre « black coffee » doit être rebaptisée « white milk », et « Mr Brown » doit être rebaptisé en « M. Light-Beige »
Un profiteur qui touche des droits d’auteur sans rien faire et sans avoir jamais rien fait nous donne des leçons de morale
Que l on s insurge pur défendre la langue française là c est une réalité, sur le sujet de ML chacun fait l utilisation de son choix.
Moi je n’ai jamais cessé de réclamer des « têtes de nègres » que j’adorent, chez mon pâtissier . . . plus que jamais même. . .
Et il sait encore très bien de quoi je parle . . . .
Il va falloir réécrire Marius de M.Pagnol;son père César le critique pour être allé chez les Nègres.
SOURCE: https://www.w24news.com
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