Maurice Aurélien Sosso les accuse de rébellion. Selon le service de communication, certains d’entre eux ont été arrêtés en possession de huit machettes.
Il n’y a plus rien entre le recteur de l’université de Yaoundé 1 et certains de ses employés. Maurice Aurélien Sosso d’une part et le Chef du Service de la Restauration, ainsi que le Chef du Service de l’Enseignement et de l’Enseignement de l’Université de Yaoundé I, ainsi que d’autres employés de cet établissement universitaire se sont observés dans des chiens de faïence pour quelques jours.
Le second accuse le premier de mauvaise gestion. Lundi, le camp anti-Sosso a publié des informations sur l’interdiction faite à 9 enseignants et responsables universitaires de visiter le campus. Ce que le professeur Sosso réfute via un communiqué publié le 22 novembre 2021 par la Cellule Communication de l’Université de Yaoundé 1. « Pour le moment, le Recteur de l’Université de Yaoundé I n’a signé aucun acte administratif interdisant l’accès du campus aux fonctionnaires. nommés par décret présidentiel et, d’ailleurs, ne pouvait le faire sans en référer à la hiérarchie », nous lisons. Maurice Aurélien Sosso contre-attaque dans ce document.
Le service de communication accuse le camp adverse de menacer de mort depuis la réunion du 11 novembre qui a déclenché la querelle. Et explique que « Cette situation nécessite que les mesures de sécurité sur le terrain universitaire soient renforcées. Ce n’est que dans cet esprit que les personnes impliquées ont été interpellées lundi matin 22 novembre 2021. Une fouille de leur véhicule a révélé des armes blanches, dont 08 machettes actuellement détenues par le commissariat de Yaoundé 5e arrondissement. qui a ouvert une enquête », ajoute le mégaphone du recteur Sosso.
Voici leur version de l’origine de la crise : « Le 11 novembre 2021, le Recteur de l’Université de Yaoundé I a fait une descente inattendue à la Direction des Affaires Académiques et de la Coopération, pour s’enquérir de l’état des listes de sélection des étudiants en master et doctorat, qui ont déjà eu plus de quatre semaines de menace pour la paix sociale sur le campus. La séance de travail du recteur a pu identifier les blocages et trouver une solution à leur publication sans délai ».
L’équipe est restée fidèle au professeur Sosso, déclarant que la communauté universitaire « dans son ensemble » condamne les actes de violence et les discours de haine, d’où qu’ils viennent, qui sont contraires à l’éthique et à l’éthique. « Il est à noter que ce malheureux incident marginal n’a en rien affecté la tranquillité et la paix qui règnent sur tous les campus de l’Université de Yaoundé I, qui poursuit sereinement ses activités académiques », Elle ajoute.
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