Le ministre camerounais de l’Administration territoriale, Paul Atanga Nji, a annoncé sa détermination à lutter contre les discours de haine et la division dans le pays. Selon le quotidien RÉALITÉS PLUS, toute personne reconnue coupable de diffusion de tels propos encourt une peine de 2 ans de prison et une amende de 3 millions de FCFA. Le gouvernement de la République est déterminé à faire face à la recrudescence des discours de haine et entend apporter une réponse forte et appropriée. Le ministre Paul Atanga Nji a instruit les autorités administratives de prendre des mesures préventives pour contrer cette menace sociale, selon le trihebdomadaire LE SOIR.
Le quotidien national CAMEROON TRIBUNE rapporte l’engagement du gouvernement à traquer les auteurs et les médias qui promeuvent la propagation des discours de haine. Une menace qui met en péril l’unité nationale, mais à laquelle une réponse forte a déjà été apportée grâce à la mobilisation des leaders communautaires, des chefs religieux et des acteurs de la société civile. Le nombre impressionnant de calèches de luxe qui comptaient sur le boulevard du 20 après le défilé a suscité une vive polémique dans les chalets et sur les réseaux sociaux, selon le quotidien L’INFO À CHAUD.
LE POINT BIHEBDO s’interroge sur le sort de Lazare Atou, qui gère depuis 2006 le reliquat d’actifs des liquidations d’anciennes sociétés d’Etat. Malgré les tempêtes, il s’accroche désespérément à cet héritage grâce à la force de ses partisans tapis dans le sérail. Des employés du Centre des Urgences de Yaoundé ont manifesté hier devant cet établissement de santé, rapporte le quotidien MUTATIONS de Georges Alain Boyomo. Le sort de Lazare Atou et les urgences du personnel sont des sujets qui préoccupent les Camerounais en ce moment.
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