Un philosophe érudit
Le Cameroun est en deuil suite au décès du professeur Hubert Mono Ndjana, l’un de ses intellectuels les plus éminents. À l’âge de 77 ans, il est décédé à l’hôpital de Yaoundé, laissant derrière lui une œuvre abondante et reconnue. Docteur d’État en philosophie et spécialiste en philosophie politique et sociale, le professeur Mono Ndjana était une figure respectée du monde universitaire.
Des concepts innovants
La pensée camerounaise a été enrichie par les concepts innovants développés par le professeur Mono Ndjana. Parmi eux, on retrouve des termes tels que « l’ethno-fascisme », « l’épistéméthique » et la « normalisation de l’écart ». Ces outils d’analyse ont permis de mieux comprendre la société camerounaise et ont marqué les esprits.
Hommages de ses pairs
La disparition du professeur Mono Ndjana a suscité une vive émotion au sein du milieu intellectuel camerounais. Ses pairs saluent la mémoire d’un philosophe érudit et prolifique, dont l’enseignement a marqué des générations d’étudiants. Son héritage intellectuel restera gravé dans les esprits.
Une grande perte pour le Cameroun
Avec la disparition du professeur Hubert Mono Ndjana, le Cameroun perd l’un de ses plus grands penseurs. Son apport philosophique manquera cruellement au débat d’idées dans le pays. Son décès laisse un vide dans l’histoire intellectuelle du Cameroun, mais son héritage continuera d’inspirer les générations futures.
Par Franck Obama, 237online.com
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