Scandale à l’ISSAM : menace de divulgation publique d’un cas d’exploitation sexuelle par un étudiant
Un scandale menace d’éclater à l’Institut supérieur des sciences, arts et métiers (ISSAM) au Cameroun. Le président des étudiants, Eteme Ateba Bonaventure Junior, a menacé de diffuser des images incriminantes d’enseignants accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des étudiantes en échange de notes. Il promet de faire exploser cette bombe si son nom n’apparaît pas sur la liste officielle des candidats au BTS.
Une menace sérieuse
Dans un message qui s’est rapidement propagé sur les réseaux sociaux, Eteme Ateba Bonaventure Junior a fait part de son agacement face à la situation. Selon lui, l’administration ISSAM refuse de le présenter au BTS en raison d’une liaison présumée. Il alerte l’administration de l’institut et menace de divulguer des preuves à charge si son nom ne figure pas sur la liste des candidats au BTS d’ici jeudi prochain.
Quels sont les problèmes ?
Ce cas, s’il est avéré, soulève de nombreuses questions sur l’éthique et l’intégrité au sein de l’ISSAM. Les accusations d’Eteme Ateba sont lourdes : il promet de diffuser des vidéos, des images, des enregistrements vocaux et même des captures d’écran de communications qui prouveraient ces actions inappropriées. La menace du président des étudiants expose non seulement une possible exploitation sexuelle au sein de l’établissement, mais aussi une possible injustice envers sa propre personne.
Un appel à la vigilance
En attendant l’issue de cette affaire, cette situation appelle une prise de conscience. Il est important de se rappeler que toute personne, qu’elle soit étudiante, enseignante ou administrative, a droit à un environnement d’étude et de travail sûr et respectueux. Toute forme d’exploitation ou de harcèlement, sexuel ou autre, est inacceptable et doit être dénoncée. Restez connecté sur 237online.com pour suivre l’évolution de cette histoire.